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Consortium DEOR 2021. Des pantins en vacances

Cristina Durău, professeure de français

Malgré la pandémie, les élèves de l’école « Mihai Viteazul » de Craiova restent optimistes et créatifs. Surtout ils n’oublient pas le beau projet Pantins pour l’inclusion, auquel ils se sont inscrits pendant l’année scolaire 2019-2020. Nous voilà confinés chez nous, en impossibilité de nous déplacer au festival de théâtre et aux activités écolières, mais heureusement on a l’Internet et on peut communiquer entre nous. Rien ne nous empêche de jouer et surtout de créer nos propres jouets, en réutilisant des trucs. C’est trop marrant !

Nous vous transmettons chaleureusement nos salutations et nos meilleurs vœux de santé, tout en vous montrant ci-dessous les pantins que nous avons réalisés pendant les vacances de Noël. Prenez soin de vous et restez créatifs !

« Pantins pour l’inclusion » au Lycée Théorique « Emil Racoviță » de Vaslui : un nouveau jardin extraordinaire

Mardi, le 10 mars 2020 : un jour assez morose au début, placé sous le signe des peurs contemporaines. Mais le soleil allait ressortir des nuages lors d’une activité tout à fait particulière, soigneusement préparée par les professeures de français et d’espagnol de la chaire de langues romanes du Lycée Théorique « Emil Racoviță » de Vaslui .

            Cette année scolaire (2019-2020), on a introduit le thème de l’apprentissage ludique des langues, de l’apprentissage créatif basé sur des ateliers de production textuelles et sur le théâtre des pantins, grâce au projet Erasmus+ « Pantins pour l’inclusion », dans toutes les activités pédagogiques semestrielles communes qu’on doit organiser lors des réunions pédagogiques avec les professeurs de langues modernes du département de Vaslui. C’est pour ce faire que, pour le deuxième semestre de l’année scolaire, le rôle d’hôte a été rempli par nos collègues, les professeures Oana Ponea, Gina Budaca, Monica Sprîncenatu et Gabriela Tofan.

            La première impression sur place, avant le début de l’activité : excellente – c’était clairement du sérieux, du travail dur, du talent et de l’investissement personnel. Ensuite : exposition des pantins, bien des couleurs, explosion de créativité, supports et matériels divers (cuillers en bois, brosses, poupées cousues à la main, décors et paravent peints extraordinairement beau). Tout s’est parfaitement enchaîné ensuite pour rendre au public ce qu’il y avait à transmettre : l’émotion pure, la joie de jouer du théâtre « autrement », la musique excellemment chantée… C’est pourquoi nous est-il venu à l’esprit « le jardin extraordinaire » prévertien, on a en fait assisté au fleurissement d’un nouveau jardin extraordinaire, peuplé de beaux élèves, de jolis pantins et d’un esprit heureux d’une enfance férue du théâtre et de l’étude des langues.

Par la suite, nous vous offrons quelques témoignages pris « au chaud » des professeures et des élèves impliqués, en français, en roumain et en espagnol :

Le film documentaire de cette superbe rencontre théâtrale

Oana Ponea, professeure de français au Lycée Théorique « Emil Racoviță » Vaslui :

               « Agréablement surprise par le désir des élèves de s’impliquer dans un projet intitulé “Pantins pour l’inclusion”, je me suis dit que la réunion pédagogique des professeurs de langues romanes de ma ville pourrait être une bonne occasion de confectionner des marionnettes, de les faire parler, chanter, danser bref, de leur donner vie.

            Mais, comment le faire, quand, par qui, en quoi ? Voilà autant de questions sans réponse pour moi, qui n’ai jamais été ni quelqu’un de très pratique, ni chanteuse, danseuse, ni metteur en scène. Ce qu’on ne saurait dire de nos étudiants, eux, les ados de nos jours, qui osent s’impliquer dans de nouvelles provocations. Et j’ai pu constater qu’ils ont de belles idées mais, ce qu’il y a de plus important, c’est qu’ils souhaitent se faire remarquer et apprécier par les autres. En fait, c’est à eux qu’appartient l’idée de spectacle, de distraction, d’amusement. La France a un incroyable talent est devenu l’opportunité de se mieux connaître soi-même et aussi de s’inventer, de faire travailler son imagination. C’est le cas du choix de la chanson Ego, qui suggère l’idée de masque, de quelque chose de caché, d’alter ego. Fabriquer des pantins est synonyme de coopération, d’inclusion, mais aussi de divertissement. Et pourtant, derrière le spectacle, j’estime qu’on peut trouver le côté pédagogique de l’activité : elle est facile à exploiter quand on enseigne la phrase interrogative, l’impératif, les actes de parole, le futur simple.

SUITE DE L’ARTICLE / CONTINUARE

COLEGIUL NAȚIONAL CATOLIC ”SF. IOSIF”, Bacău Créations pour le projet Erasmus+ PANTINS POUR L’INCLUSION (Consortium DEOR)

Chers participants au projet, on vous souhaite un printemps joyeux et fléurissant de créativité pour notre projet!Voici la séquence… chimique promise. Nos poupées intelligentes vous présentent les propriétés des gaz grâce à un expériment bien facile à réaliser, sans aucun risque, à l’école ou à la maison. Vous allez apprendre des choses et vous amuser. Si vous aimez, n’oubliez pas de nous encourager!

La Chimie avec des pantins

DEOR : Février 2020, Ecole « Tudor Arghezi » Năvodari, Roumanie

Nous vous présentons le matériel réalisé par la professeure de français Adriana Pătrașcu avec des élèves de 12-13 ans, de la deuxième année d’étude de français . Comme l’inclusion est le mot clé de notre projet, on a pensé de créer une petite scène avec pantins pour impliquer tous les élèves de la classe, avec leurs marionnettes.

La production a été vraiment ce qu’on attendait, les enfants ont bien reçu la proposition de la scénette et ils ont été vraiment enthousiastes. Voilà le petit film de cette pièce !

Affiche créée par les élèves de l’Ecole «Tudor Arghezi» Năvodari, Roumanie

DEOR: Les petits théâtres en papier en classe de FLE

Les théâtres en papier sont assez vieux, ils étaient beaucoup utilisés à l’époque où il n’y avaient pas d’écrans, de journaux, de photos. Il semble que le théâtre d’ombres est apparu en Egypte. Les spectacles représentaient un divertissement pour la population, pour les enfants, mais ces spectacles étaient aussi joués devant les empereurs ou les nobles de divers pays.
Les artistes présentaient des morceaux de légendes, des évènements historiques dont ils manipulaient quelquefois l’intrigue en fonction du public qui les regardaient. A part leur fonction divertissante, il est envisageable aussi d’imaginer un rôle de transmission, de communication des nouveautés, d’une façon plus ou moins subjective. Ils ont assuré la circulation des chansons populaires, des légendes ou des contes et des pièces religieuses, ayant aussi un important rôle dans l’éducation du peuple des villes et des villages jusqu’à la fin du XIXe siècle.
Par rapport aux nouvelles technologies de la communication, on pourrait dire que le théâtre rapprochait les gens, présentait des réalités que chacun pouvait comprendre et intégrer dans son univers d’informations. Les nouvelles technologies ont une fonction différente, les réseaux sociaux offrant des possibilités illimités de communication virtuelle, séparant pourtant les gens qui préfèrent rester cachés par les écrans. Il est donc bien de réintégrer certaines méthodes anciennes, en offrant de l’espace au jeu, au bricolage et à l’initiative en classe de FLE.
Les théâtres en papier sont plus accessibles aux élèves du collège, qui peuvent les construire seuls, n’ayant pas besoin de fournitures spéciales. Lorsque j’ai proposé aux élèves de notre collège de créer un théâtre de marionnettes, ils ont été peu attirés par l’idée, me disant que les marionnettes ne sont plus pour leur âge. Les élèves de 12 à 13 ans ont commencé pourtant à s’y intéresser et ils ont utilisé des boites en carton pour improviser des dialogues. Leurs marionnettes sont en papier, ils les manègent à l’aide de fines baguettes en bois. Les élèves dans la classe deviennent vite leurs spectateurs et bien que leur niveau de français ne leur permette pas encore d’écrire des saynètes plus longues, ils réussissent à capter l’attention du public et de faire parler leurs acteurs en carton.
Ce que je trouve fascinant est le fait qu’ils ont vite intégré cette activité dans leur étude du français, ils ont commencé à utiliser les marionnettes et les théâtres en papier dès que l’enseignant leur a offert l’occasion. Lorsque les thèmes de vocabulaire se prêtent au jeu et au dialogue, ils attirent l’attention par une boite – scène improvisée qui attend patiente sur le pupitre l’intervention de l’enseignant. Chaque fois je suis contente de toute idée ou mise en œuvre qui suscite l’intérêt des élèves pour l’étude du français, le fait qu’ils aiment apporter leurs créations en classe pour s’exprimer en français est une grande conquête. Ça veut dire que pour eux le français a un côté ludique, que cette langue nouvelle, puisqu’ils l’apprennent depuis une année et demie, ne leur fait pas peur. Un autre avantage est le fait qu’ils réussissent à créer des univers en bricolant, et qu’ils trouvent des situations pour mettre en lumière leurs créations sans que l’enseignant la leur demande.
Les marionnettes en carton ne nécessitent pas des heures de travail et offrent la possibilité de jouer à même temps qu’apprendre. Elles donnent l’occasion de travailler en équipe, de se rencontrer pour confectionner le matériel, la scène et les décors, ce qui fait que le processus d’apprendre devient plus intéressant et la langue étrangère est vraiment mise en situation réelle de fonctionnement.
Nos élèves ont utilisé pour confectionner leurs théâtres en papier le livre « Mes petits théâtres à construire » par Lise Herzog, qui présente des moyens de construire des théâtres en boite, des cirques animés et un petit théâtre d’ombres. Pour chaque activité présentée ce petit livre offre plein d’instructions et spécifique le matériel nécessaire, si bien que même s’il est écrit en français les élèves ayant un niveau A1 ont réussi à comprendre et à suivre les instructions. Ils ont trouvé le livre parmi les livres reçus dans le cadre du projet ADIFLOR que nous avons commencé en décembre 2019, et ils ont vite commencé à utiliser les informations, déjà mettant en scène deux petits spectacles. Pour les pièces ils ont encore des difficultés à écrire en français, mais ils ont commencé à faire des progrès.

DEOR: janvier 2020, Olteni, Teleorman, Roumanie

Vă prezentăm cele mai noi activități ale partenerilor din Olteni (Teleormani), în cadrul Consorțiului DEOR al proiectului Erasmus+ “Pantins pour l’inclusion”.

Nous vous présentons les productions les plus récentes de nos partenaires DEOR de l’Ecole d’Olteni (Teleorman, Roumanie).

Piese de teatru/adaptări pentru scenă de la Olteni (link)

Lisez plus

DEOR Fundu Văii School (Lipovăț, Vaslui): Learning English with puppets

We present you a little movie with a little puppets play made while they learn English by the pupils from the General School of Fundu Văii, Lipovăț village, Vaslui department, member of our DEOR Consortium. The actors: Macovei Luciana 8th form, Chiriac Denis 6th form, Lebada Daniel 5th form.

Folk puppets from Moldavia

DEOR: Un nou stagiu de formare “IF Profs” la Cahul (Republica Moldova)

      Pe 29 ianuarie 2020, s-a desfășurat o nouă etapă a formării multianuale a profesorilor de limba franceză din raionul Cahul, Republica Moldova, prilejuită de continuarea cursului „IF Profs”, pe marginea exploatării platformei omonime a Institutului Francez. Cursul este validat de Institutul Francez din București și s-a desfășurat în cadrul Acordului de Cooperare aflat în derulare între Inspectoratul Școlar Județean Vaslui și Direcția Raională Învățământ Cahul. Ca și la prima parte a cursului, formator a fost inspectorul școlar de limbi moderne Alexandru Mîță, unul din cei trei administratori naționali ai platformei IF Profs Roumanie.

   Organizatorii locali au dat dovadă de același entuziasm cu care s-au implicat în parteneriatul complex cu Inspectoratul Școlar Județean Vaslui, mai ales că, de data aceasta, gazda cursului a fost noul Centru Cultural Francez din Cahul, găzduit în spațiul pus cu generozitate la dispoziție de Liceul Teoretic „Ion Creangă” din Cahul. Este chiar primul curs de formare organizat în această casă nouă a Francofoniei moldovenești! Domnul Valeriu Baban, șeful Direcției Generale Învățământ Cahul a subliniat, în discursul adresat participanților la curs, importanța Acordului bilateral aflat în derulare și faptul că Inspectoratul Școlar Județean Vaslui este cel mai serios și mai constant partener educațional al Direcției Generale Învățământ Cahul, în cei patru ani scurși de la semnarea documentului oficial având loc simpozioane internaționale, cursuri de formare, mese rotunde, activități pedagogice deschise, două ediții ale Simpozionului Internațional de Arheologie Didactică, proiecte în parteneriat bilateral desfășurate între instituții de învățământ din cele două părți ale Prutului.

   După prezentarea funcționalităților platformei IF Profs, în partea a doua a formării, accentul s-a deplasat pe creșterea motivației elevilor în învățarea limbii franceze, cursanților oferindu-li-se exemplul proiectului Erasmus+ KA229 „Pantins pour l’inclusion”, coordonat de însuși formatorul Alexandru Mîță (pentru Liceul Teoretic „Mihail Kogălniceanu” Vaslui, în parteneriat european cu Escola EB 2,3 de Vialonga, Portugalia, Sculoa Media Frosninone 3 din Frosinone, Italia; Gymnasium of Livadia din Cipru și Școala Gimnazială nr. 1 Pungești, județul Vaslui). Toți participanții la formare au fost invitați să se alăture Consorțiului de diseminare și exploatare a rezultatelor (DEOR) proiectului Erasmus+ KA229 „Pantins pour l’inclusion”, organism foarte activ din care fac parte deja 30 de școli din Republica Moldova, 40 de școli din 15 județe ale României și 30 de școli din județul Vaslui. Ca exemplu de bună practică în limba franceză predată cu ajutorul teatrului de animație, li s-a oferit cursanților vizionarea și analiza spectacolelor „La Princesse Ensorcelée” și „L’Ecole des Magiciens” (piese prezentate în mai multe spectacole ale Trupei „Notre Théâtre * Teatrul Nostru * Our Theater”) după care s-a trecut la desfășurarea unui atelier teatral motivațional de creare a unor scenete cu personaje ale „Notre Théâtre”, din care vă prezentăm câteva momente esențiale, marcate de umor, creativitate, competență lingvistică și talent.

DEOR: L’amitié est toujours dans le vent

Adela DIMOV ( Collège National « Nicolae Bălcescu » de Brăila , Roumanie)

   Le harcèlement est de plus en plus présent dans les écoles de Roumanie. Au niveau européen, notre pays occupe la troisième place dans le classement des 42 pays où l’on a analysé ce phénomène. Selon un rapport de l’Organisation Mondiale de la Santé (l’OMS), 17% enfants de 11 ans ont avoué avoir agressé d’autres élèves au moins trois fois, le mois précédent, le pourcentage de ceux de 13 ou de 15 ans étant de 23%. Les données les plus récentes traitées par le Ministère de l’Éducation Nationale (MEN) pour l’année scolaire 2017-2018 confirment les 18.783 cas de violence au niveau national.

   Au cadre du projet Erasmus+ « Pantins pour l’inclusion » 2019-2021, les élèves de la XIe B du Collège National « Nicolae Bălcescu » de Brăila, coordonnés par les professeures Adela Dimov et Florentina Poenaru, ont mis en scène le spectacle « L’amitié est toujours dans le vent », une pièce de théâtre aux marionnettes. Par cette action, on a voulu attirer l’attention sur l’ampleur du harcèlement dans les écoles de Roumanie.

   Les principaux objectifs du projet des élèves de la XIe B ont été:

Les élèves de la XIe B du Collège National « Nicolae Bălcescu » de Brăila, coordonnés par les professeures Adela Dimov et Florentina Poenaru, ont mis en scène le spectacle « L’amitié est toujours dans le vent », une pièce de théâtre aux marionnettes.
  • La prise de conscience du niveau élevé de manifestation des comportements de harcèlement entre les enfants et des conséquences négatives graves de ce phénomène sur leur développement émotionnel;
  •  La prise de conscience de la nécessité d’intervention intégrée école-famille-enfant, en vue de la création d’une ambiance positive dans l’école, une condition nécessaire à la gestion des comportements de harcèlement;
  • L’information des enfants quant à leur rôle essentiel dans la défense des victimes du  harcèlement et leur réaction face aux situations de harcèlement.

   Ainsi, nos élèves ont-ils confectionné les marionnettes et la scène sur laquelle le spectacle s’est déroulé. Ils ont écrit le scénario de la pièce, inspiré d’un fait réel, d’un groupe qu’ils fréquentaient. Bien que cela ait été un nouveau défi pour eux, ils l’ont accepté avec enthousiasme dès le premier moment. Ils ont travaillé en équipe, guidés par leur esprit de jeunesse, avec beaucoup de plaisir, passion et joie. Malgré la difficulté des activités déroulées pour la transmission de ce message fort sérieux, ils ne s’en sont jamais plaints. Les élèves ont fait preuve d’un esprit civique responsable, digne de citoyens européens.

   Bref, le spectacle raconte les sentiments d’une nouvelle collègue, qui est maltraitée et intimidée chaque jour par la soi-disant « reine de l’école ». Au moment où les agressions impliquent des attaques physiques, le groupe d’élèves prend position. L’agresseur est remis à sa place et le comportement de harcèlement est arrêté. L’ambiance du groupe redevient calme et agréable, la nouvelle élève étant acceptée par tous les enfants. L’amitié et la gentillesse triomphent, car  « L’amitié est toujours dans le vent ».

COLEGIUL NAȚIONAL CATOLIC ”SF. IOSIF”, Bacău Créations pour le projet (Consortium DEOR)

Chers intervenants dans le projet, on vous souhaite une nouvelle année 2020 resplendissante de joie et fleurissante de santé, d’imagination, de bonheur!

On vous a promis une surprise… chimique, mais, voilà, les artistes peintres de notre lycée ont fait plus vite, sous la coordination inspirante de leur professeur d’arts plastiques Valentina Mărăndoiu.  Nos élèves ont joué en couleurs sur les sentiments et l’expression du visage, sur le positif et le négatif, sur la lumière et les ténébres, dans des toiles qui éveilleront, on espère, votre imagination et votre émotion. Tout comme les pantins, ces tableaux sont des miroirs intérieurs qui veulent vous transmettre un message puissant sur l’importance de communiquer, de partager, de donner et chercher de l’aide pour ne pas perdre ou pour retrouver son nord.

PARLER SENTIMENTS, ce n’est pas toujours facile! La finalité de cette démarche est de nous donner le courage d’en parler, d’accepter notre âme profonde et les divers défis à surmonter quel que soit notre âge ou notre expérience de la vie.
Pour apprendre davantage sur la musique de la présentation Marble Machine (en style folktronica – genre musical qui incorpore musique folk et électronique – et pop expérimental), vous avez un lien supplémentaire.  

Si vous aimez, donnez un signe, laissez un mot d’encouragement!

Prof. coordinateur Dana Floareș